À Hollywood, dans le monde du cinéma, le dicton veut « qu’on ne soit jamais aussi bon que son dernier film ».
En somme, on n’aurait la valeur que celle démontrée par les faits.
Avoir atteint un rendement supérieur ne suffit pas. Il faut qu’il y ait élévation de la trajectoire de ses réalisations. Et les sursauts de parcours ne font pas les résultats récurrents.
On présume beaucoup à l’embauche, dans l’entreprise-type. L’évaluateur tient pour ferme, que la personne sera à la hauteur de son passé. Ce qui ne sera confirmé, que lorsqu’elle aura accompli la tâche nouvelle qu’on lui aura assignée.
Cela ne suggère pas de ne pas évaluer les potentialités des personnes. Cela convie à la prudence, en matière de « projection des compétences ».
Ce qui est plus certain, c’est le comportement des personnes. Puisque celui-là trahit les valeurs de ces dernières. Et que les valeurs indiquent les croyances, qui influent sur l’état d’esprit.
Or, le rendement, au travail, est généralement déduit de l’attitude envers l’organisation et la tâche. Les habiletés techniques sont de support au rendement, et non pas le déterminant de l’engagement à la tâche.
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