Les économistes Prebisch et Viner, dans les années 1940, ont prétendu que la croissance économique ne reposait pas sur la créativité, l’engagement et la croissance personnelle.
Elle dépendait des ressources, technologies, goûts (préférences), consommation et loisirs.
Or, aujourd’hui, ce qui prime, dans l’économie post-mondialisée, qui plus est dématérialisée, ce sont la créativité, l’engagement et la croissance personnelle.
Recherches après recherches indiquent, que les dimensions humaines sont primordiales dans le décompte des facteurs de croissance des nations.
Bien sûr, il est des matérialités à disposer, pour assurer la croissance économique. Mais ce sont les valeurs humaines, qui rythment l’utilisation des facteurs physiques de production.
D’où, depuis vingt ans, l’école behavioriste d’économie (Thaler) met l’accent sur le comportement des personnes, donc les valeurs qui les explicitent, dans l’évolution des sociétés.
Étrangement, alors que les économies dépendent de l’activité et des affaires des entreprises, ces dernières tardent à mettre l’humain au cœur de leurs préoccupations. Elles n’ont que le profit en tête.
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