Bien des emprunts d’idées se font, dans l’entreprise.
Les castors n’admettent pas toujours, que leurs « construits » sont l’idée des lapins.
Soit, le résultat compte. Mais le résultat, sans l’idée de départ, c’est de l’imagination en promesse plus que de la réalisation en livraison. Et si l’imagination compte, ce sont les projets aboutis qui permettront à l’entreprise d’engranger des retombées d’activité et d’affaires.
Ce dont les entreprises ont le plus besoin, ce sont des idées de satisfaction des besoins des humains. On parle des clients, sans lesquels il n’est pas d’utilité-marché pour elles. À moins d’admettre, que leur avenir réside dans la production-distribution-consommation par les seuls robots.
Et si tel est le cas, alors il ne sera plus besoin d’explication de castor à lapin. Les idées seront toutes partagées en temps réel, parce qu’immédiatement accessibles à tous les cyborgs connectés en « réseau d’intelligence ». Une intelligence sans idée, parce qu’en instantané de pensée entre tous les robots.
En d’autres mots, les idées ne circuleront plus. Les projets complétés seront préfigurés, avant même leur « idéation ».
Votre entreprise « castorise » ou « cyborguise » ?
Likez, commentez, partagez.
Lisez les Livres suggérés sous l’onglet OUVRAGES du présent site ?
Vous y trouverez des idées pas comme les autres.
Une trame d’idées fondées sur le précepte du « management de l’autrement ».