Le client achète ce qui le valorise, et non pas ce qui profite à l’entreprise. Il est sensible aux valeurs qu’il partage avec l’offrant, et n’a que faire de la valeur d’encaissement sur l’activité de l’entreprise. Il veut être servi, et non pas utilisé. Le produit d’offre requis doit correspondre à sa demande économique, mais c’est son utilité qui doit satisfaire l’attente sociale de mieux-être du client. En somme, la relation-client en est une d’interface, d’interaction et d’interrelation entre « l’humain offrant » et « l’humain demandant ». La comptabilité financière de l’entreprise n’intéresse pas le client, et le profit qui en dérive encore mois. Ce qui n’a rien d’étonnant, parce que l’entreprise n’existe que pour répondre aux exigences du client. Or, les relations-clients sont invoquées à tout venant par l’entreprise-type, mais rarement satisfaisantes à tout venant pour les clients. L’entreprise est en mode « perception de valeur », alors que les clients sont en mode « perception de valeurs ». La dissonance est manifeste. L’entreprise-type ne l’a pas noté. Les clients, eux, l’ont ressenti et agi en conséquence. Ils achètent ailleurs !
La clientèle préfère-t-elle votre entreprise ou ses rivales de marché !
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