Le management souffre, plus souvent qu’autrement, d’une carence profonde d’attention humaine dans l’entreprise. Bien sûr, on parle généralement du fameux taylorisme, comme une formule d’embrigadement éhontée de la main-d’œuvre au travail. Mais Taylor, et plus encore une flopée d’autres auteurs, ont insisté sur l’importance de l’humain comme premier facteur de contribution à l’accomplissement de la mission de l’entreprise. Vos dirigeants n’ont peut-être jamais lu ces auteurs. Faites-le, et faites-leur part en douce des idées que vous en aurez retenues. De la sorte, vous participerez au mouvement d’éclosion de l’Entreprise de l’Autrement. Celle intelligifiée, parce qu’humanisée. Celle de la confiance dans l’autre, parce que sans elle il n’est pas d’activité ou d’affaires d’entreprise qui soient durablement engageantes. Vous saviez que le taux d’engagement au travail du personnel, à l’échelle mondiale, se situe autour de 13 % ? En somme, l’entreprise qui veut économiser sur tout ou presque, n’aurait pas encore compris qu’elle déséconomise sur son capital premier, le personnel, en ne pourvoyant pas celui-ci d’un contexte du travail et de conditions d’exécution de la tâche qui le stimulent suffisamment.
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Une trame d’idées fondées sur le précepte du « management de l’autrement ».