Toffler a dit : « les illettrés du 21e siècle ne seront pas ceux qui ne savent ni lire ni écrire, mais ceux qui ne sauront pas apprendre, désapprendre et réapprendre ».

Le rythme de substitution des produits s’explique par les technologies qui le permettent.

Le rythme de remplacement des technologies s’explique par les modes, méthodes et pratiques qui l’autorisent.

Le rythme de succession des managers explique les modèles d’affaires adoptés.

Le rythme du changement des modèles d’affaires s’explique par les idées neuves des entrepreneurs.

Or, les entrepreneurs sont devenus plus rares.

Aux États-Unis, le taux, en 2017, se situait à 0,33% (330 sur 100 000). Rien de délirant, quand on pense que « l’économie disruptive » est celle de l’accélération.
Il y a diffusion des idées, par médias sociaux interposés.

Mais cela n’entraîne n’a un partage élargi du savoir. Les platitudes, qu’on y recense, donnent dans « l’idée reçue » plus que dans « l’imagination perçue ».

C’est la fréquence de rotation des idées (créatrices), qui fait l’économie de la substitution. Et l’intelligence artificielle fait émerger celle-ci. Mais c’est l’intelligence humaine qui crée l’intelligence artificielle.

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