L’entreprise «boundaryless» (Welch, 1981-2001) est celle qui ne souffre pas de frontières internes.
Celle où coulent l’information, le savoir et l’intelligence, comme l’autonomie, la confiance et la reconnaissance.
C’est l’entreprise du « self-management », où « l’autorité » et la « coercition » ont fait place à « l’interrelation » et à « l’entraide ».
C’est l’entreprise intelligifiée, parce qu’humanisée. Et l’entreprise humanisée est celle de la confiance réciproque. L’entreprise de l’autrement.
L’avenir de l’entreprise se dessine autour de notions d’état d’être des personnes, même si, tout le monde semble ne regarder que du côté de la robotisation pour l’heure.
L’entreprise «boundaryless» a mis la hache dans le «command-and-control», et mise sur le «sense-and-respond».
Tout ce qui l’intéresse c’est le mouvement, et donc l’innovation. Dans l’activité et les affaires, comme dans les processus de gestion.
Elle n’est pas fermée sur elle-même, en comptabilisant du profit. Elle est ouverte, en mobilisant le savoir-faire qui induit la justice sociale dans le milieu qu’elle est et la communauté qu’elle habite.
Votre entreprise est «boundaryless» ou «boundary-all-over»?
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