Wollheim (1999) rappelle, que les émotions négatives sont plus nombreuses que les positives. D’où l’importance de les repérer et d’en évaluer l’impact sur le rendement à la tâche d’un chacun. Ce que fort peu d’entreprises ne font.
Parmi les émotions positives, Ong compte (2017) : l’enthousiasme, l’intéressement, la détermination, l’emballement, l’étonnement/amusement, l’inspiration, la promptitude, l’éveil, la fierté, l’attention/flow, la détente, le calme, le plaisir. Wollheim ajoute : l’amour, la joie, la tendresse, la gratitude, l’admiration, la compassion, l’espérance.
Parmi les négatives, Wollheim compte : la haine, la colère, le dégout, l’envie, la jalousie, le ressentiment, l’ingratitude, la peur, la terreur, l’amertume, le mépris, l’antipathie, l’indifférence, la honte, la culpabilité, le regret, le remors, le chagrin, la mélancolie, la timidité, le désespoir, le doute, la méfiance.
L’objet du présent exposé n’est pas d’inventorier toutes émotions. Mais de souligner combien il importe de les relever, parce que significatives sur le dessein de l’entreprise.
Votre entreprise dispose d’une grille d’analyse des émotions et s’en sert pour améliorer la qualité de ses rapports avec son personnel?
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