Les entreprises sont de deux types : 1) les fragiles (91 %) ; 2) les agiles (9 %).
Les fragiles poursuivent le profit comme fin, et donc contrôlent comme forme de gestion leur activité et leurs affaires.
Les agiles poursuivent la satisfaction comme fin, et donc innovent sur le produit d’offre comme sur la structure de réponse à la demande.
Chez les fragiles, la culture de la méfiance se décline comme suit : opacité de la gouvernance, centralisation du pouvoir de décisions, indifférence envers l’apport de chacun au résultat, amoralité en activité et en affaires, iniquité de traitement des autres, irresponsabilité caractérisée des administrateurs et des dirigeants.
Les agiles sont transparentes, décentralisées, reconnaissantes, éthiques, équitables, imputables.
Les fragiles s’approprient les avantages.
Les agiles partagent les avantages.
Et le comportement est très précisément le même dans tous les secteurs.
Malheureusement, le syndrome du Lake Wobegon veut que 91 % des non-performantes s’estiment dans le segment des 9 % des performantes.
En somme, tout le monde « il-est-beau-tout-le-monde-il-est…parfait ». Une vraie logique de patache !
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