L'entreprise First-in-class
L’entreprise first-in-class
Le PRET (Programme de renforcement de l’engagement au travail) que propose PerformInfo Inc. à ses clientes a été conçu en vue d’assurer le dépassement du rendement sur le capital versé de l’entreprise qui l’adoptera. On parle de rendement, et termes de résultat d’exercice et en performance sur cycle de vie entier de l’entreprise. La moyenne annuelle du rendement sur le capital versé des entreprises, selon le S & P 500, entre 1921 et 2021, a été de 10,49 %. Entre 2013 et 2021, il a été de 15,0 %.
Or, les données disponibles, en matière de rendement sur l’investissement des actionnaires, démontrent que les entreprises à « founder’s mentality », soit celles qui ont retenu le plus de la culture innovante du fondateur, ont dépassé de 200 % les autres entreprises dans le marché, entre 1990 et 2014.
Si l’on compare deux ordres différents d’implication dans l’entreprise ordinaire, à compter d’un même niveau financier, soit $ 100 000, entre le salaire d’un simple employé, au taux de croissance annuel de 5 %, et l’investissement d’un actionnaire, à taux de croissance de 22,27 % (soit le taux annuel moyen de SRC – Springfield Remanufacturing Corporation – dont le mode de gestion correspond en grande partie, mais non entièrement, au modèle développé par PerformInfo Inc. le facteur P), on constatera qu’après dix ans, l’actionnaire aura vu son actif augmenter 4,7 fois plus que le salaire majoré de l’employé ( $ 779 166 contre $162 889).
Entre 2017 et 2020, les vingt entreprises françaises, qui ont eu la plus forte croissance annuelle moyenne du chiffre d’affaires, présentaient un taux moyen de 225, 3 %. Les vingt entreprises du America’s Best Small Companies (Forbes 2022) présentaient, pour leur part, un taux moyen de croissance sur l’investissement de 294,4 %.
Cela dit, nul ne prétend, que toutes les entreprises sont capables d’atteindre, voire de maintenir, un tel taux de croissance annuel. Mais il demeure, que celles qui s’en donneront les moyens pourront largement dépasser les 10,49 %, 15,0 % et 22,27 %, pour atteindre des seuils se situant au-delà des 30 %, 50 % ou 80 %.
Les entreprises qui dégagent des taux records de rendement sur le capital versé sont généralement celles dont les modes, méthodes et pratiques de gestion de l’activité et des affaires sont axés sur les variables d’engagement du Programme de renforcement de l’engagement au travail (PRET) mis au point par PerformInfo Inc. Et celles qui dominent le classement dans leur secteur d’activité et d’affaires respectif sont celles qui pratiquent l’actionnariat-salarié total.
La France, depuis 2011, compte le plus grand nombre de salariés actionnaires parmi les pays Européens. Et l’Europe a amorcé un virage marqué à ce chapitre, depuis 2007. En ce qui concerne la France, plus spécifiquement, le pays compte largement plus d’auto-entrepreneurs que de fondateurs d’entreprises à salariés. Ce qui suggère très clairement, que la détention du capital retient plus l’attention que le salaire, parmi les générations montantes d’entrepreneurs.
Or, l’entreprise à actionnariat-salarié total ne peut être une formule plus indiquée de nos jours pour contrer la délocalisation de l’emploi et le remplacement de l’emploi par les machines dans l’entreprise actuelle.
Cela constitue une forme idéale d’investissement dans l’humain, dont les recherches de Kenningham, Aksoy et Williams (2009) ont démontré, qu’à somme identique d’investissement, mieux valait investir dans l’humain que d’investir dans l’équipement (8,5 % contre 3,9 %).
Les études de Zook (2016) ont démontré, de manière irréfutable, que les variables du facteur P de PerformInfo Inc. comptaient parmi les premières susceptibles d’expliquer les plus forts taux de rendement sur la capital versé des entreprises sur le long terme.
In Pour une France libre d’entreprendre (2018), Cadic note que « les entreprises, après une première faillite, réussissent mieux et ont une durée de vie plus longue que la moyenne de jeunes pousses ».
Ce que la conversion des entreprises à l’actionnariat-salarié total démontre bien. Le premier échec de la vaste majorité des entreprises aura consisté à demeurer des « fermoirs » d’initiatives, faute de participation directe à la propriété des acteurs-preneurs à leur activité et leurs affaires. Alors que celles qui seront devenues de véritables « viviers » d’initiatives, et donc des modèles d’innovations, l’auront été en se convertissant en entreprises à propriété totalement partagée entre les mains de ceux et de celles qui en auront assuré le rendement supérieur. S’il est vrai que l’actionnaire externe soit en quête de rendement sur son investissement, tout porte à conclure qu’il ne pourra en être autrement de l’actionnaire interne. Le plus fort taux d’engagement à la tâche, dans le monde des entreprises, se rencontre dans celles qui partagent le risque, l’effort et les retombées après avoir partagé le capital entre les mains de ceux et de celles qui sont la garantie de son résultat sur exercice et de sa performance sur cycle de vie entier.